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La ville de Baltimore a été le théâtre d’un fait divers insolite : un employé municipal a été viré puisqu’il avait passé, en l’espace de deux semaines, 39 heures à visionner des films pornographiques sur son lieu de travail.

Presque la moitié de son temps de travail

Selon les explications de Rob Pearre Jr, inspecteur général, les services municipaux se sont penchés sur le cas de cet employé à la suite d’une dénonciation anonyme. Suite à cette plainte, les responsables de la municipalité ont installé un logiciel de surveillance sur l’ordinateur de l’intéressé.

Il a été ainsi avéré que ce salarié avait passé presque la moitié de son temps de travail à visionner des films pornographiques. Il devait effectivement travailler pendant 41 heures par semaine. En deux semaines, soit 82 heures de travail en principe, le temps qu’il a consacré à regarder des films X en ligne ou de DVD amenés sur le lieu de travail totalisait 39 heures. Le rapport établi par l’inspecteur général précise même qu’un jour particulier, il s’est adonné à son passe-temps favori pendant 6h 46mn sur ses 8 heures de présence quotidienne au travail.

Combien cela a coûté à la municipalité ?

Un rapide calcul sur la base de son salaire fait ressortir que le temps qu’il a passé à regarder ces films coûte 1.166 dollars, soit 1.026,90 euros à la Municipalité. Si on fait une extrapolation sur les 2.000 heures de travail annuel, le temps qu’il a perdu à visionner est estimé à 951 heures, ce qui revient à environ 28.400 dollars, soit 25.011, 88 euros.

Pour des raisons de confidentialité, l’identité de l’homme n’a pas été révélée dans le rapport. On sait seulement qu’il faisait partie du personnel du département qui est en charge du retraitement des eaux usées de la ville de Baltimore. Il a été viré le 20 janvier 2015 après une mise à pied sans solde depuis septembre 2014.

L’inspecteur général a tenu à préciser que quelle que soit la nature des films visionnés, la sanction aurait été la même. Un salarié qui aurait regardé pendant 4h par jour des émissions sportives sur le lieu de travail aurait fait l’objet d’un traitement similaire.

Une étude publiée le 16 mars 2015 dans « The Journal of Sexual Medecine » révèle que le sommeil aurait un impact sur l’envie sexuelle des femmes. Une heure de sommeil de plus par nuit boosterait leur libido. Détails.

Une étude scientifique très sérieuse

L’étude a été réalisée par une équipe de scientifiques conduite par David Kalmbach, docteur en psychologie. 171 étudiantes d’une Université américaine ont participé pendant deux semaines au sondage en ligne qui leur a été proposé. Il s’agissait de répondre tous les jours aux questions posées sur ce qu’elles ressentent sur le plan sexuel. Leurs réponses démontrent qu’une bonne nuit de repos influe sur leur appétit sexuel.

L’analyse des résultats de ce sondage a permis aux chercheurs de conclure qu’un homme a 14% plus de chance de faire l’amour à sa partenaire si celle-ci a bénéficié d’une heure de sommeil de plus la nuit précédente. En outre, une bonne nuit de sommeil favorise l’éveil vaginal et la lubrification. La femme devient rapidement réceptive.

Une réponse unanime

Les participantes ont été presque unanimes à déclarer qu’elles ressentent plus vivement une envie sexuelle après une nuit plus longue. Signalons que les étudiantes qui ont pris part à cette étude étaient en couple. Il leur a été demandé durant ces deux semaines de sondage de ne pas prendre de médicaments antidépresseurs et de boire de l’alcool avec modération.

Les résultats de ce sondage confirment que le sommeil a un impact important sur le désir sexuel d’une femme. Cette thèse est valable même pour celles qui jouissent d’une excellente forme physique, d’une bonne santé mentale et quel que soit leur âge.

Alors, Messieurs, ne sous-estimez pas l’effet d’une bonne nuit de repos sur l’appétit sexuel de votre partenaire. Votre relation de couple en sera améliorée !

Face au vieillissement de la population du Danemark, une vaste campagne a été menée à travers tout le pays. Les pouvoirs publics en sont les premiers organisateurs, mais les entreprises privées leur ont prêté main-forte, à l’instar du site « Do it for Danemark ». De quelle manière le sexe se transforme-t-il en devoir national ?

Une brève rétrospective

Il convient tout d’abord de faire une rétrospective de ce qui se passe dans ce pays nordique. Les pouvoirs publics appréhendent qu’à moyen terme, le nombre d’actifs ne suffise plus pour financer les retraites. En effet, le taux de natalité ne parvient pas à être au niveau du seuil de renouvellement de la population qui est de 2,1 par femme, et ce contexte perdure depuis presque 46 ans. En 2013, ce chiffre a atteint un niveau critique : 1,67, d’où la mobilisation des pouvoirs publics qui ont organisé cette gigantesque campagne de sensibilisation.

La contribution d’une agence de voyages

« Est-ce que le sexe peut sauver le futur du Danemark ? ». Cette phrase qui peut paraître humoristique est celle qu’a choisie une agence de voyages en introduction d’une publicité en guise de contribution à l’effort entrepris par le pays. Elle propose une réduction du tarif aux couples qui réservent un séjour via son site pendant la période de fécondation. Ceux qui donnent par la suite naissance à un bébé à la suite de ce voyage se verront offrir une poussette ainsi que des couches gratuites durant 3 ans, à condition de fournir les justificatifs nécessaires.

Comme le problème de natalité au Danemark fait l’objet d’une couverture médiatique de grande envergure, l’ensemble de la population n’a pas été choqué par le spot. Les gens sont en effet conscients que ce sujet est sérieux pour le pays et ils peuvent l’aborder naturellement.

Une éducation à la base

Au Danemark, les enfants sont éduqués à la sexualité dès leur plus jeune âge. L’ONG « Sex og Samfund » (Sexe et Société) fait depuis des années le tour des écoles pour assurer ce volet spécifique de l’enseignement.

Dans le passé, cette organisation parlait uniquement de sexe en mettant en exergue les risques et les précautions requises afin de ne pas tomber enceinte. Depuis que Christine Antorini, ministre de l’Éducation, a publié un communiqué explicite quant aux souhaits du gouvernement, l’association a adapté son discours et inclut maintenant dans son programme des explications sur la bonne méthode pour avoir des bébés.

Un site de rencontres

D’autres entités, entreprises ou particuliers, participent à cet effort national. Citons entre autres Emmanuel Limal, un acteur français qui vit à Copenhague depuis une vingtaine d’années et qui a créé un site de rencontres baptisé « Balyklar.nu », qui veut dire « prêt pour un bébé maintenant ».

L’univers de la séduction réserve souvent des surprises. Ainsi, certaines personnes préfèrent mentir pour rejeter poliment leur interlocuteur. Voici un panel de phrases auxquelles il ne faut surtout pas croire puisqu’elles expriment le contraire de ce que pense celui qui les dit.

« Je préfère qu’on reste de bons amis »

Si une fille prononce cette phrase, dites-vous bien qu’elle ne fera jamais partie de votre cercle amical. En plus, elle ne vous communiquera pas son véritable prénom, son numéro de téléphone, son adresse Skype et Facebook. Au cas où vous auriez déjà son contact, abstenez-vous de l’appeler. Vous serez terriblement déçu de constater qu’elle a bloqué votre numéro.

« Ah, c’est vraiment intéressant »

Il s’agit d’une réponse systématique pour une personne qui n’aime pas quelque chose et qui voudrait passer à un autre sujet. Si elle est vraiment intéressée, comme elle le laisse entendre, elle poserait des questions pertinentes ou paraîtrait enthousiaste.

« On en reparle une autre fois »

Celle qui est en face de vous ne veut surtout pas que vous profitiez de votre rencontre pour parler de choses sérieuses. Une manière polie de vous repousser…

« Non non, tu es vraiment charmant »

Dès qu’une personne prononce une phrase commençant par « non non », vous avez de bonnes raisons de ne pas la croire. Si elle vous trouve à son goût, elle ne se sentirait pas obligée de toucher un mot sur votre « charme ».

« Merci, mais j’ai assez bu (ou assez mangé) »

Cette phrase est souvent fausse. Elle représente une bonne excuse pour décliner une invitation ou pour quitter rapidement la table.

« Comment vont tes enfants ? »

La santé de vos enfants est le cadet des soucis de votre interlocutrice. Cette question sert tout simplement à vous rappeler votre situation personnelle et pour que vous vous trouviez dans l’embarras pour continuer la conversation.

« J’ai un copain »

C’est une phrase régulièrement utilisée par une fille qui n’a pas de copain pour l’instant. Si elle en avait vraiment eu, elle s’abstiendrait de vous en informer.

« J’attends quelqu’un »

Pourquoi aurait-elle accepté de vous rencontrer justement au moment où elle attend quelqu’un ? Éclipsez-vous doucement pour sauver la face.

« Désolée, je dois répondre à cet appel ou je dois filer »

Le prétexte du dernier métro à prendre ou encore de l’appel provenant du bureau, c’est une excuse classique des personnes qui souhaitent mettre terme à une rencontre.

« Je ne suis pas du genre tactile »

La plupart du temps, c’est un mensonge. Les contacts non sexuels et non sentimentaux n’intéressent généralement pas les personnes âgées de plus de 25 ans puisqu’ils rappellent les relations avec les anciens copains de collège ou avec les membres de la famille. De ce fait, la majorité des personnes de cette tranche d’âge ne sont pas tactiles. Si vous êtes en face d’une telle fille, contentez-vous d’une bise, à moins qu’elle déclare en outre qu’elle n’embrasse pas.

Vous avez maintenant des notions éclairées sur des phrases qui disent tout le contraire de la pensée de votre interlocutrice. À bon entendeur, salut !

Certains hommes sont inquiets au sujet de la taille de leur pénis. Ils sont mal à l’aise, car ils pensent qu’ils ont un défaut corporel. Pour les rassurer, une étude scientifique s’est penchée sur le sujet pour déterminer la longueur et la circonférence « normales » du sexe masculin en érection.

Une synthèse de nombreuses études

Des médecins britanniques ont fait une synthèse de 20 études médicales ayant été réalisées auparavant auprès de plus de 15.000 hommes au total. Des professionnels de santé avaient alors pris les mesures de leur pénis selon un processus prédéfini et standardisé pour l’ensemble des individus ayant participé aux études.

Les scientifiques du King’s College de Londres ont ensuite analysé les résultats et ont établi un schéma graphique représentant la taille du sexe masculin au repos ou en érection, en tenant compte de certains paramètres de variations. Si on se réfère à ces « nomogrammes », un pénis au repos mesure en moyenne 9,16cm de longueur et atteint 13,12cm en érection. Pour ce qui est de la circonférence, elle est de 9,31cm au repos et 11,66cm en érection. L’étude a aussi démontré qu’il n’y a qu’un rapport assez faible entre la taille du pénis et celle du sujet.

En octobre 2011, l’Académie française de chirurgie a publié de chiffres similaires. Elle avait alors indiqué que le pénis mesure en moyenne 9 à 9,5cm de long au repos et 12,8 à 14,5cm en érection, la circonférence étant de 8,5 à 9cm et 10 à 10,5cm (au repos et en érection).

Des chiffres qui rassurent

Ces études ont porté en majorité sur des sujets européens et moyen-orientaux. Les scientifiques restent donc assez prudents pour tirer des conclusions. La taille du pénis peut en effet être différente en fonction de la température ambiante, de la culture et de l’origine d’un homme. En tout cas, grâce à ces graphiques, les médecins sont désormais en mesure de rassurer leurs patients, car les dimensions du pénis de la plupart des hommes sont dans la fourchette « normale ».

Comme de nombreux individus sont anxieux ou souffrent psychologiquement parce qu’ils ont le sentiment d’avoir un membre de taille insuffisante, l’Académie française de chirurgie les met en garde contre un éventuel recours à la chirurgie correctrice. Une telle intervention pourrait être superflue en plus d’être risquée. Il est inutile d’exercer une opération sur un pénis physiologiquement actif et ayant des dimensions normales.

Vous ne voulez pas vous exposer à un accident du sexe, notamment à une rupture du pénis. Vous aimeriez connaître la position la plus risquée afin d’éviter tout éventuel désagrément au cours de vos ébats ?

La position d’Andromaque

Une étude réalisée par des scientifiques brésiliens en 2014 révèle qu’il existe une position risquée. Ces spécialistes considèrent que celle qui est la moins sûre, susceptible d’engendrer une fracture du pénis au cours d’une relation sexuelle, est la position d’Andromaque. Lorsque la femme est au-dessus, l’homme est plus exposé aux risques potentiels de rupture du pénis, car son sexe en érection doit supporter tout le poids du corps de son partenaire.

Quand un couple fait l’amour dans cette position, il arrive parfois que l’homme se casse le sexe, même si son membre ne comporte ni os, ni muscle. À cause d’une pression excessive, l’organe masculin peut se briser. La blessure se traduit par un craquement, puis par une douleur très vive et un gonflement de la verge.

D’autres positions à risque

La position d’Andromaque est la plus risquée puisqu’elle est à l’origine des 50% des cas de fractures de pénis connues au cours de l’étude. Cependant, il faut également signaler que dans 29% des cas ont été causés par la position de la levrette et 21% sont dus à la position du missionnaire.

L’étude a été effectuée dans 3 hôpitaux brésiliens, à Campinas. De recherches plus poussées ont permis de connaître l’origine exacte de la fracture du pénis de 42 patients. 28 d’entre eux ont été « accidentés » durant un rapport hétérosexuel. 6 sujets ont été blessés parce qu’ils ont maladroitement « manipulé » leur pénis.

De tout ce qui précède, il appert que faire l’amour peut parfois être dangereux, mais les cas de fracture de pénis sont extrêmement rares. Alors, il n’y a pas lieu de vous inquiéter outre mesure.

En proie à une crise de jalousie, croyant que sa femme l’a trompé avec son oncle, un homme de 45 ans a purement et simplement collé le sexe de son épouse. Narration de cette sordide histoire qui s’est passée en Afrique du Sud !

Témoignage, deux ans après les faits

Par peur de représailles de son mari, la victime a choisi de se taire. Ce n’est que deux années après les faits qu’elle décide de raconter, sous couvert d’anonymat, sa triste mésaventure par le biais d’un site d’information sud-africain. Selon son témoignage, tout commença lorsqu’un soir, elle a été ramenée chez elle par son oncle. Cela a rendu furieux son époux qui pensait que son épouse le trompait avec ce parent qui l’a raccompagné.

Comme c’était un homme violent, il eut un comportement incontrôlable. La femme de 40 ans raconte que son mari l’a alors enfermée dans la chambre. La menaçant avec une machette, il l’a forcée à se déshabiller, puis de s’allonger et d’ouvrir les jambes. Il a ensuite pris un tube de Super Glue et a enduit les lèvres du sexe de son épouse avec cette colle. Les supplications et les larmes de la victime n’ont pas réussi à l’empêcher d’accomplir cet acte odieux.

De graves conséquences sur la vie sexuelle de la victime

La femme a indiqué aux médias qu’elle voulait porter plainte, mais son mari s’est enfui du domicile conjugal après cette agression ignoble. Il reste introuvable. Il est parti en abandonnant son épouse dans un état de santé critique. Comme ce type de colle est particulièrement corrosif, en marge d’horribles douleurs, il a engendré de graves affections au niveau du sexe de la victime.

Elle ne retrouvera plus sa sexualité puisqu’il n’est plus question pour elle d’avoir de relations sexuelles. Ce serait trop douloureux à cause des cicatrices. Elle a des difficultés même pour uriner.

Jusqu’à présent, cette femme vit dans la peur, car elle craint une réapparition et un acte de vengeance de son ex-compagnon.