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Vous croisez souvent une fille dans la rue et vous êtes persuadé que vous vous plaisez mutuellement. En raison de votre timidité, vous n’osez pas l’aborder directement. La nouvelle appli Happn vous sera d’une grande utilité. Elle est dédiée aux timides, en plus, elle favorise le coup de foudre « virtuel ».

Une application originale

Il y a un an, trois Français férus de technologie ont développé cette application originale qui se base sur un système de géolocalisation très perfectionné. Si vous décidez de vous inscrire, vous verrez apparaître sur votre smartphone les photos de toutes les filles qui pourraient être potentiellement amoureuses de vous parmi celles que vous avez croisées partout où vous étiez pendant toute la journée. Grâce à Happn, vous pourrez facilement la contacter, le premier pas sera ainsi simplifié.

Pour simplifier les démarches de séduction

Il existe plusieurs applications proposant de trouver l’amour à l’instar de Happn. Selon certains psychiatres, le développement exponentiel de ces algorithmes est lié au boom de la population dans les grandes agglomérations. Les occasions pour faire des rencontres sont nombreuses, mais comme il y a trop de monde autour de vous, vous appréhendez d’aborder une fille. Pour les personnes timides, les relations virtuelles s’avèrent plus rassurantes. Vous n’avez plus besoin de recourir aux techniques de séduction à l’ancienne. La mise en scène de votre photo de profil peut transmettre auprès de la fille convoitée bien plus d’informations en marge de votre apparence physique.

Le coup de foudre existe !

Profitant de l’évènement pour fêter ses 700.000 utilisateurs, les créateurs de l’appli Happn ont réalisé une étude en collaboration avec IFOP (institut de sondage bien connu) dans le but de savoir comment les Français réagissent face au coup de foudre. Les résultats de l’enquête démontrent que 67% des personnes sondées y croient, de quoi déduire que les Français sont définitivement romantiques ! Toutefois, lorsque ce coup de foudre se produit, seulement 20% des individus qui en sont frappés osent passer à l’action. Selon les explications des analystes, les jeunes sont trop occupés par la routine quotidienne. Ils n’ont pas le temps ou n’osent pas draguer.

Il existe une disparité entre les fantasmes des hommes et ceux des femmes. C’est ce qui a été révélé par une étude canadienne. Décryptage des différences entre les désirs assumés ou cachés masculins ou féminins !

Des dissemblances

L’Université de Montréal a effectué une étude pour mettre en évidence cette dissemblance des fantasmes des deux genres.

Chez les hommes :

La gent masculine aurait plus de fantasmes que le sexe opposé et n’hésiterait pas à en parler en détail à ses amis.

– 84,5% rêvent d’un plan à trois, avec deux femmes,

– 83,4% fantasment sur les relations extraconjugales,

– 82,1% aimeraient bien regarder deux femmes en train de faire l’amour,

– 80,4% ont envie d’éjaculer sur leur partenaire,

– Le sexe anal et les relations homosexuelles font rêver deux fois plus d’hommes que de femmes.

Chez les femmes :

Certes, la gent féminine a aussi ses fantasmes, mais à l’encontre des hommes, les femmes ne souhaitent pas tellement réaliser leurs rêves érotiques. Cela ne veut pas pourtant dire qu’elles n’ont aucune idée de ce qu’elles désirent vraiment.

– 30 à 60% des femmes rêveraient d’être dominées durant l’acte sexuel. Elles voudraient bien être fouettées, menottées et recevoir une fessée érotique.

– Les femmes sont plus nombreuses à convoiter le plan à trois (56,3% contre 15,8% chez les hommes).

Des ressemblances

Il existe tout de même des points communs entre les deux genres en termes de fantasmes.

– Ils rêvent tous de faire l’amour dans des lieux publics, atypiques, voire insolites, sans négliger les endroits « romantiques ».

– Les pratiques sadomasochistes sont aussi partagées par les deux genres. 50 à 60% des hommes et des femmes en rêvent.

Quelques fantasmes « déviants » 

L’étude s’est aussi intéressée à ce type de rêves érotiques qu’ils appellent ainsi parce qu’elles sont rares et sont considérés comme des rêves érotiques anormaux (même pas 2% des personnes interrogées en ont envie). On peut classer dans cette catégorie les fantasmes touchant les domaines de la pédophilie ou de la zoophilie. Ceux qui rêvent d’uriner sur leur partenaire (ou l’inverse) ou de se travestir figurent également parmi cette minorité.

Vous rêvez de vous adonner à des jeux amoureux virtuels sur Internet en contrôlant le sextoy d’un (e) inconnu (e) ? C’est désormais possible sur le site de rencontre lancé récemment par une compagnie taïwanaise !

Une innovation

Un réseau social qui s’est engagé dans un créneau innovant s’est implanté sur la toile depuis le 20 octobre 2014. Sur « LovePalz Club » les adhérents ne se contenteront plus de discuter en ligne. Ils peuvent contrôler le jouet coquin de son (sa) correspondant (e) et son interlocuteur peut aussi en faire de même.

Ce concept était dédié à l’origine aux personnes qui sont éloignées géographiquement et qui souhaitent mieux vivre leur relation malgré la distance. Toutefois, face au constat que de nombreux Internautes rêvent d’avoir une relation sexuelle virtuelle avec un (e) inconnu (e), les responsables de la compagnie taïwanaise ont décidé de mettre ce site en ligne.

Un sex toy à connexion Bluetooth

Ce site dispose d’une boutique en ligne où les Internautes peuvent acheter un sex toy à connexion Bluetooth coûtant 150 euros. Après l’inscription et la création de son profil, l’adhérent sélectionne parmi les autres membres en ligne celui ou celle qui lui correspond le mieux. Il lui adresse alors un message et s’il (ou si elle) est d’accord, ils peuvent entamer leur rencontre virtuelle. Les personnes timides peuvent opter pour une interaction via une vidéo-conférence ou le tchat.

Dans le cas où les deux personnes souhaitent passer à l’étape suivante de leur rencontre et utiliser leur sex toy, grâce à un logiciel spécifique installé sur le site, chacun d’entre eux peut contrôler le jouet coquin de l’autre. Il leur suffit de cliquer sur un bouton dédié pour choisir le type de vibration ou la vitesse du sextoy de son partenaire virtuel.

Une telle fonctionnalité s’avérerait très intéressante sur Bazoocam !

Une collègue de travail vous attire particulièrement et vous avez envie de la séduire. Vous appréhendez toutefois les éventuelles conséquences fâcheuses d’une telle aventure. Pour mieux vous prémunir, vous aimeriez connaître les « pour » et les « contre » de la drague au bureau.

Les « contre »

Voyons d’abord les points négatifs de la drague au boulot :

– La conséquence la plus grave serait de se retrouver en justice. La fille pourrait en effet vous accuser de harcèlement sexuel.

– Vous pourriez faire l’objet de commérages dans votre entreprise.

– Si votre partenaire est votre supérieur hiérarchique, voire votre patronne, dans le cas où vous obtiendrez une promotion, elle ne vous laissera plus tranquille. Vous porterez toujours l’étiquette de « promotion canapé ».

– Si votre relation ne dure pas, vous ne vous sentirez plus à l’aise au bureau après votre séparation. Il se pourrait que vous ne souhaitiez plus vous croiser, alors que vous êtes obligés de vous voir tous les jours. Cela pourrait avoir un impact fâcheux sur votre travail.

– Si c’est elle qui vous plaque, vous aurez du mal à garder la tête haute.

– Dans le cas où cela marche très bien entre vous et vous vous décidez de vivre ensemble, vous vous verrez donc pendant et après les heures de boulot. À force de vous côtoyer 24h/24 vous risquerez de vous lasser l’un de l’autre.

Les « pour »

La drague au bureau peut parfois s’avérer bénéfique :

– C’est une aventure palpitante et sexy qui prendra la forme d’un jeu amoureux, à condition que personne ne soit au courant de votre relation.

– Dans le cas où vous travaillez dans le même service, vous aurez l’occasion de vous aider en partageant vos expériences et vos compétences respectives.

– Les statistiques démontrent qu’un homme a nettement plus de chance de trouver son âme sœur au bureau que dans un bar ou une boîte de nuit.

– Le fait de côtoyer tout au long de la journée une fille qui vous plaît et qui pourrait vous aimer en retour est une perspective très agréable.

– La drague au boulot pourrait être un divertissement dans le cas où vous vous ennuyez au travail.

– Dans le cas où vous ne vous focalisez pas sur une seule fille, la drague au boulot vous permet de vous mettre de nombreuses collègues dans la poche. Dans ce cas, l’attitude la plus appropriée serait de les considérer comme de petites sœurs. Cela aidera à détendre l’atmosphère.

– La séduction au bureau est aussi un moyen d’affirmer autrement votre virilité.

Vous connaissez maintenant les « pour » et les « contres » de la drague au bureau. À vous de décider si vous vous lancez ou si vous préférez réfréner vos élans.

La plupart des hommes ont des idées reçues concernant le sexe. Cet article vise à vous apporter des notions éclairées sur ce sujet et à vous donner des conseils susceptibles de vous aider dans vos relations avec les filles.

« Toutes les femmes devraient ressembler à des actrices de films pornos » 

Certes, avec leurs seins très ronds et leur épilation très nette, les vedettes de films pornographiques font fantasmer bon nombre d’hommes. Il faut toutefois vous rendre à l’évidence que la réalité est bien loin de ce qui se passe sur les plateaux de tournage. Vous devez apprécier la fille telle qu’elle est. Après tout, elle ne s’attend pas à retrouver dans son lit une star de film X, alors pourquoi insistez-vous sur le fait qu’elle doive ressembler à une actrice porno ?

« Les tétons sont tous pareils »

Malgré le fait que vous ayez vu une multitude de tétons au cours de vos aventures amoureuses, vous ne pouvez pas prétendre en maîtriser le mode d’emploi pour chacune de vos partenaires. Il n’y a ni réaction type ni de règle en la matière. Fiez-vous à votre feeling en testant différentes approches. Vous finirez par trouver la méthode adéquate. En tout cas, évitez le pelotage global et énergique. Cela risquerait d’énerver votre partenaire.

« Seule la taille compte »

Nombreux sont les hommes qui ne sont pas objectifs quand on aborde le sujet sur la taille du pénis. Les spécialistes affirment que les femmes préfèrent un petit membre bien manié par rapport à un grand pénis mal utilisé. Vous devez vous contenter de vous occuper de votre partenaire pour qu’elle éprouve du plaisir lorsque vous faites l’amour.

« C’est mieux quand il y a moins de poils »

La plupart des hommes préfèrent les femmes épilées. La gent féminine, elle, n’exige forcément pas que leur partenaire soit imberbe. Certes, vous ne devez pas vous négliger, mais tant que vos poils sont en quantité raisonnable, aucune femme ne vous le reprochera.

 « Si l’homme est heureux, alors la femme l’est aussi »

Cette idée reçue a la peau dure. Les hommes croient que lorsqu’ils sont satisfaits au lit, leur partenaire l’est aussi systématiquement. En réalité, les deux genres n’ont pas le même tempo en termes de sexualité. Vous devez éviter un jeu personnel et gommer dans votre tête l’image du fameux « alors, heureuse ? » que la gent masculine a l’habitude de dire après l’acte.

« Si l’acte ne dure pas longtemps, il doit y avoir un problème »

Il s’agit d’une légende urbaine. Généralement, les hommes pensent que pour réussir un rapport sexuel, il faut qu’ils fassent durer l’acte pendant des heures. Cette idée est fausse. La plupart des femmes sont largement satisfaites après 15 à 20mn à condition que vous les ayez bien employées en vous investissant entièrement dans l’acte. Évidemment, si vous ne parvenez pas à dépasser 5mn, c’est un peu court, mais votre partenaire ne vous en voudra certainement pas si vous ne pouvez pas faire éterniser l’action pendant plus de 30mn.

« Les femmes aiment donner plutôt que de recevoir, surtout au lit »

L’acte sexuel est un jeu qui se fait à deux. Certes, les femmes cherchent toujours à donner du plaisir à leur partenaire, mais elles apprécient beaucoup le fait d’en recevoir également en retour. Cette idée est donc complètement fausse. Ceux qui l’affirment ont probablement abusé de films pornographiques ou n’ont eu affaire qu’à des professionnelles du sexe.

« Le sexe ne commence que dans la chambre »

À partir du moment où il existe des interactions, comme un geste tendre, un regard complice ou encore un SMS coquin, le sexe commence déjà. Ces petites attentions ne manqueront pas de faire fonctionner l’alchimie quand vous vous retrouverez sous la couette. Ainsi, ne pensez pas que le sexe ne débute que lorsque vous êtes dans la chambre.

Les mœurs évoluent parallèlement au changement de la société contemporaine. Des termes 2.0  se sont ajoutés au vocabulaire pour désigner certains types de relations. Si auparavant, on utilisait les mots « célibataires », « en couple » ou « mariés », maintenant il existe également « sex friends », « relations libres » et « plans culs ». Ils servent à déterminer des situations très différentes. Explications.

« Relation libre »

Ce type de relation qui s’apparente le mieux au couple devient de plus en plus tendance, car il n’exige pas les compromis et les inconvénients liés à la fidélité.

Dans les faits, les deux conjoints vivent comme n’importe quel couple légitime en organisant des dîners en amoureux aux chandelles ou devant la télé, en allant au cinéma, en s’embrassant en public, certains vivent même sous le même toit. Toutefois, lorsqu’ils ne se voient pas, l’un ou l’autre est entièrement libre d’aller ailleurs et de coucher avec qui il veut. La fidélité est exclue dans ce genre de relation.

Vous êtes séduit par les mots « libre » et « relation » et envisagez de vous laisser tenter par la relation libre qui vous permet de jouir à la fois des avantages du célibat et de ceux du couple ? De cette manière, vous profiterez des câlins, de petites attentions et de la vie sexuelle d’un couple sans perdre votre liberté dans le cas où vous souhaiteriez voir ailleurs de temps à autre.

N’oubliez pas cependant que votre partenaire est aussi libre d’aller auprès d’un autre homme. Votre jalousie et votre caractère possessif pourraient en souffrir. Vous courez le risque de la perdre dans le cas où elle tombe amoureuse d’un autre, alors que vous ne supportez plus de la partager.

Pour éviter de vous briser le cœur si vous voulez vous lancer dans une relation libre, la seule condition de la réussite, c’est le respect mutuel entre les conjoints. Définissez bien les règles et les bases dès le début de la relation.

« Plan Cul » (régulier)

Il s’agit d’une relation purement sexuelle n’incluant aucune sorte de sentiment. Elle peut être régulière entre les deux personnes concernées. À chaque fois que l’un ou l’autre éprouve une forte envie de faire l’amour, il lui suffit de passer un coup de fil à son (sa) partenaire habituel (le) pour se donner rendez-vous. Après l’acte sexuel, chacun reprend ses affaires et rentre chez lui.

Si vous ne souhaitez pas vous engager dans une relation sentimentale sans vous priver de sexe, le plan cul est une bonne alternative. Il s’apparente au célibat à part le fait que vous n’êtes pas contraint de chercher à chaque fois une fille via les sites de rencontres ou en allant dans une boîte de nuit ou dans un bar. Il vous suffit de contacter votre partenaire régulière. Il s’agit aussi d’une solution pratique pour les personnes qui ne veulent pas s’attacher parce qu’elles voyagent très souvent ou exercent un métier très accaparant.

Le problème, c’est que vous ne pouvez pas trouver facilement une fille qui soit apte à vous combler sur le plan sexuel et qui ne vous prenne pas trop de votre temps. En effet, la situation doit être clarifiée dès le début. Il faut surtout éviter de tomber amoureux, car une telle relation devient très compliquée dès que les sentiments entrent en jeu. La souffrance et le déséquilibre viendront alors perturber votre vie. À chaque fois que vous avez rendez-vous avec la fille, mettez-vous toujours dans la tête que vous vous retrouvez uniquement pour un « plan cul ».

Un « Sex Friend », c’est quoi ?

À la base, un « sex friend » est une amie, mais vous pouvez coucher ensemble de temps en temps lorsque vous ressentez tous les deux que vous êtes en manque de sexe et d’amour. Cela peut être à la suite d’un dîner, d’une soirée ou d’une sortie entre amis.

Votre « sex friend » est tout à fait différente de votre partenaire pour un « plan cul » puisque c’est une fille que vous côtoyez régulièrement lorsque vous vous retrouvez avec votre bande de copains. Vous ne faites l’amour qu’occasionnellement. En fait, vous êtes des amis très proches.

Veillez toutefois à ne pas vous attacher et dépasser la limite de l’amitié. Le risque de tomber amoureux de votre « sex friend » n’est pas à écarter, tant vous vous connaissez très bien et que vous êtes de véritables complices dans la vie. Dans le cas où vous allez au-delà de ce stade, alors que l’amour n’est pas réciproque, vous perdrez sûrement votre grande amie et dire adieu à votre relation.

Bien qu’elle reste taboue pour une frange de la population, la masturbation est une pratique de plus en plus courante. Certaines personnes s’y adonnent en solo, d’autres, plus libérées, la font en duo. Voici quelques anecdotes insolites et des histoires qui vous intéresseront au sujet de la masturbation.

Un peu d’histoire

Selon une idée qui circulait au 18^e siècle, la masturbation pourrait engendrer le cancer, la lèpre et le ramollissement du cerveau. En raison de cette phobie, les parents interdisaient à leurs enfants de mettre la main sous la couverture lorsqu’ils étaient au lit. Certains munissaient les adolescents d’une ceinture de chasteté pour aller dormir, d’autres attachaient leurs poignets pour les empêcher de s’adonner à cette pratique. Pour les filles, un médecin avait conseillé un traitement à l’acide pour réduire la sensibilité de leur clitoris.

Au début du 20^e siècle, plusieurs ouvrages médicaux ont décrié les impacts nuisibles de l’autostimulation sur la santé humaine. Ils citent entre autres les cernes noirs, la fatigue et l’irritabilité des adeptes de cette pratique. Selon certaines idées reçues, la masturbation favoriserait l’apparition de boutons sur le visage ou encore la surdité.

Une pratique bénéfique pour la santé

Certaines études ont toutefois démontré que c’est faux. Des chercheurs australiens affirment que la masturbation pourrait prémunir un homme contre le cancer de la prostate. Leurs résultats ont été confirmés récemment par des scientifiques canadiens. Cette pratique est aussi bénéfique pour les femmes. Elle permet de lutter contre certaines formes de dysfonctionnements sexuels, tels que l’absence de jouissance (anorgasmie).

Des anecdotes

Au chapitre des anecdotes insolites, citons les résultats d’une enquête effectuée en 2006 par CSF (contexte de la sexualité française). Cette étude a démontré que les femmes ayant été diplômées de l’enseignement supérieur sont plus nombreuses à se masturber régulièrement comparées à leurs congénères sans diplôme (29% contre 14%). 51% des femmes non diplômées ne se sont jamais adonnées à cette pratique, alors que ce pourcentage n’est que de 20% chez celles qui ont réalisé des études universitaires.

Chaque femme sait que le clitoris est un organe extrêmement sensible. En moyenne, il lui suffit de 4mn d’autostimulation pour atteindre l’orgasme. Certaines parviennent même à jouir au bout de 30s de masturbation. Ce temps peut augmenter pendant le coït. Les préliminaires prennent ainsi toute leur dimension pendant une relation sexuelle. En stimulant le clitoris pendant l’acte, vous activerez l’orgasme de votre partenaire.