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Vous passerez vos prochaines vacances à l’étranger. Vous souhaitez en profiter pour draguer. Pour cela, vous aimeriez connaître les méthodes performantes à appliquer selon les pays.

La drague en Europe

Si vous préférez la drague rapide, prenez la direction de l’Angleterre. Les Britanniques aiment le franc-parler et ne soyez pas étonné si une Anglaise vous propose directement de vous ramener chez elle dès votre première rencontre. Dans le cas où vous aimez la drague plus romantique, choisissez l’Allemagne où les filles sont plus timides. Elles privilégient la discrétion. Si vous programmez d’aller en Pologne, n’espérez pas trop avoir un rendez-vous en tête-à-tête. Les Polonaises aiment beaucoup passer leur soirée entre amis.

Voulez-vous goûter aux plaisirs de la sexualité libérée ? Optez pour un voyage en Scandinavie. Les Finlandaises, les Suédoises et les Norvégiennes sont réputées être très chaudes. Ces destinations vous combleront si vous souhaitez faire une première expérience en relation homosexuelle. Si vous vous apprêtez à visiter un pays méditerranéen, sachez que là-bas, les cages d’escaliers, les garages ou les laveries automatiques représentent les meilleurs endroits pour faire l’amour.

Aux États-Unis et en Asie

Si vous voulez vous rendre aux États-Unis, vous devez déployer deux méthodes différentes en fonction de la fille ciblée. Certaines Américaines adorent les Français et le « French Kiss » et sont emballées par le classique « Voulez-vous coucher avec moi ce soir ». Par contre, d’autres sont puritaines et requièrent un « dating ». N’espérez pas pouvoir embrasser ce genre de fille avant le 3^e rendez-vous.

Pour draguer des Chinoises ou des Japonaises, vous devez mettre en valeur votre réussite sociale ou professionnelle. Les Asiatiques préfèrent les hommes performants aux séducteurs. Si vous êtes adeptes de jeux vidéo ou d’arts martiaux, vous détenez de sérieux atouts. Pensez à orienter les discussions sur les dernières générations de logiciels ou les versions récentes de jeux vidéo.

Certains chercheurs affirment que les rapports sexuels désinvoltes, sans sentiment, sont favorables à la santé. C’est ce qui ressort des études réalisées auprès de quelques centaines d’étudiants de l’université de Cornell et de New York. Décryptage.

Moins de stress, une vie plus prospère

L’enquête a révélé que les jeunes gens qui changent régulièrement de partenaire sexuel éprouvent plus de bien-être après des rapports sexuels sans sentiment. Sur le panel de 371 étudiants interrogés, 42% ont admis avoir déjà couché avec une tierce personne, autre que leur copain ou copine. Les chercheurs ont observé que cette marge des individus sondés est moins stressée que les autres. En optant pour des relations sexuelles sans attachement, ils mènent une existence plus prospère. Selon les psychologues, la sociabilité sexuelle permet d’éviter les conséquences fâcheuses des rapports occasionnels et de profiter pleinement des bienfaits de l’acte sexuel.

De bonnes raisons

Toutefois, certains chercheurs estiment que de telles pratiques peuvent s’avérer néfastes pour la santé. À leurs avis, le fait d’avoir des relations sexuelles sans sentiment peut être déprimant, mais cela dépend de la motivation de chacun. En tout cas, les étudiants interrogés ont déclaré qu’ils ont de bonnes raisons pour agir ainsi. Ce sont surtout les jeunes gens qui privilégient la recherche de la jouissance et du plaisir qui sont concernés. Ils veulent explorer et apprendre à chaque fois de nouvelles choses sur la sexualité.

Pour apaiser certains ressentiments

Sur le chapitre des mauvaises raisons qui pousseraient certains étudiants à effectuer des rapports sexuels sans sentiment, citons la vengeance, l’envie de se sentir mieux dans leur peau. Cette pratique est aussi adoptée par ceux qui souhaitent se soustraire à des émotions désagréables. D’autres ont été trop ivres pour agir de manière responsable. Les chercheurs ont ainsi établi une corrélation entre les relations sexuelles occasionnelles et l’augmentation de l’anxiété et du stress. Ces ressentiments s’apaisent après le rapport.

Comme d’habitude, les magazines consacreront cet été plusieurs pages aux reportages et aux conseils sur la sexualité. Voici quelques idées reçues que vous pourrez trouver dans les revues que vous lirez.

La maturité sexuelle

Sur l’âge de la maturité sexuelle, par exemple, vous apprendrez que l’homme l’atteint plus tôt que la femme. Il faut du temps, du savoir-faire, de l’altruisme, de la générosité et de l’amour pour y parvenir. L’évolution dépendra des expériences vécues au cours des précédentes relations. Quelques années sont nécessaires pour prendre conscience de son corps, mais lorsque les deux membres d’un couple sont arrivés à ce stade, une véritable symbiose s’installe entre les deux partenaires. Il convient toutefois de souligner la différence entre le mode de sexualité de l’homme et de la femme. Le sexe dit « faible » doit s’abandonner tandis que le sexe « fort » doit contrôler.

La polygamie

Le thème de la polygamie sera également abordé dans les magazines de l’été. Selon certaines idées reçues, ce concept est favorable à la santé sexuelle masculine, mais ne serait pas bon pour les femmes. Il faut savoir que le bien-être sexuel dépend de plusieurs facteurs, comme la biologie, l’environnement sociopolitique ou socioculturel, des croyances religieuses ou de l’éthique. L’approche respectueuse et positive de la sexualité et les expériences sexuelles qui fournissent du plaisir sans qu’il n’y ait aucune contrainte ou discrimination entre les partenaires sont autant de garanties de la santé sexuelle. Dans le cas où la polygamie est en harmonie avec la culture d’un homme, il est évident que cette pratique lui sera bénéfique.

Les rêves érotiques

Vous pourrez également lire qu’aucune femme ne fait de rêves érotiques. Cette idée est complètement fausse puisque, de tout temps, la gent féminine en fait autant que la gent masculine. Certaines études ont révélé que 8% de leurs rêves sont purement érotiques. Seulement, elles n’osaient pas en parler auparavant. Si les hommes rêvent surtout de scènes sexuelles, vécues ou fantasmées, ce sont les hommes politiques célèbres, les vedettes de la chanson ou du cinéma qui hantent la nuit des femmes.

Les aphrodisiaques

Les magazines de l’été ne manqueront pas de parler des aphrodisiaques qui sont réputés redynamiser la libido. Depuis la nuit des temps, les hommes ont toujours cru que ces substances leur permettent d’avoir un plus grand pouvoir de séduction et une meilleure performance sexuelle. En fait, il s’agit d’une simple pensée qui mobilise l’imaginaire. Pour que les produits ingérés (huîtres, gingembre, chocolat, etc.) soient efficaces, la croyance influe beaucoup dans la mise en condition et la préparation à l’acte sexuel. L’excitation et le désir ne viennent pas automatiquement.

Les « tue l’amour »

Vous pourrez aussi lire des articles sur les « tue l’amour », surtout des chaussettes. Les femmes sont unanimes à penser que cet accessoire vestimentaire tue l’excitation. Elles détestent ainsi les hommes nus en chaussettes. Notons en outre que la pilosité et les odeurs sont également de véritables freins à l’excitation.

Même la science n’a pas encore réussi à déterminer et à comprendre la complexité des mécanismes sexuels de l’être humain. Il existe toutefois des bizarreries, parfois troublantes, qu’il convient de connaître sur la sexualité.

Les images qui excitent les femmes

Savez-vous par exemple que les images de chimpanzés qui se reproduisent excitent les femmes ? L’expérience a été réalisée en 2009 par une scientifique qui a invité plusieurs femmes à faire des tests. Elle a fait défiler à l’écran divers films et a évalué les réactions de chaque participante grâce à un dispositif placé à l’intérieur du vagin pour mesurer le flux sanguin. Toutes les femmes ont atteint un niveau assez élevé d’excitation au moment où une vidéo de singes effectuant des rapports sexuels était diffusée.

La performance des hommes

Les hommes ronds tiennent beaucoup plus longtemps au lit (7mn 18s en moyenne) que leurs homologues plus maigres (moins de 2mn). Des chercheurs turcs ont fait une étude sur la durée moyenne de la gent masculine au lit pendant l’orgasme. L’expérience a été édifiante. Ceci est dû à l’existence d’un excès d’hormones féminines dans l’organisme des hommes enveloppés. Ils sont considérablement ralentis durant l’approche de l’orgasme.

Après avoir analysé les données collectées auprès de 5.000 couples chinois, les psychologues d’une célèbre université anglaise ont pu établir un lien entre la rémunération d’un homme et les chances dont dispose sa partenaire de connaître l’orgasme. Il en résulte que les hommes riches sont plus doués dans leurs ébats, le salaire ayant une influence sur la performance sexuelle.

La pornographie

La pornographie favorise la tolérance. C’est ce qui ressort d’une étude publiée dans une revue spécialisée. Les scientifiques ont constaté que les individus qui visionnent régulièrement des films classés X sont moins coincés moralement par rapport à la marge de la population qui n’en regarde jamais. À leur avis, depuis que le porno est exposé de manière illimitée sur la toile, les Internautes sont de plus en plus enclins à accepter plus facilement le mariage homosexuel et les couples non traditionnels.

Toujours dans le chapitre du porno, vous devez savoir que la majorité de consommateurs de porno transsexuel est composée d’hommes hétérosexuels. Cette déduction a été faite par deux éminents chercheurs en neurosciences qui ont analysé les recherches effectuées sur Internet par plus de 100 millions de personnes. Le transgenre occupe la 4^e place en termes de popularité dans le secteur de la pornographie sur le Web.

Ce que les hommes aiment

La gent masculine aime regarder des images de pénis. Des scientifiques ont en effet constaté que les hommes recherchent aussi bien des photos de sexe masculin que des clichés de sexe féminin sur les sites pornos. Ils ont analysé 40.000 adresses URL les plus populaires sur la toile dans le domaine du porno. Ils ont ainsi relevé que plus d’un millier d’entre eux (des sites dédiés aux hétérosexuels) mettent en avant, de façon amusante, des photos de pénis surdimensionnés.

Les hommes sont plus enclins à aider des femmes aux gros seins au détriment de celles qui ont une poitrine menue. L’expérience réalisée par un groupe de chercheurs français a confirmé ce contexte. Ils ont demandé à une jeune fille de faire de l’auto-stop sur une aire bien connue pour cette pratique en lui conseillant de faire en sorte que ses seins paraissent au fur et à mesure plus gros. Ils ont constaté que les hommes s’arrêtent plus souvent lorsqu’ils sont en présence d’une personne portant un soutien-gorge de grande taille.

Attention au vélo !

Enfin, si vous êtes un adepte du vélo, il convient de savoir que la pratique trop régulière de ce sport peut nuire gravement à votre libido. C’est ce qu’affirment des chercheurs qui se sont penchés sur la corrélation entre le vélo et l’impuissance depuis 1997. Après vérification du pénis d’un cycliste de 28 ans, ils ont découvert que son flux sanguin au niveau du sexe est similaire à celui d’un homme de 60 ans. En raison de la pression, les selles mal adaptées peuvent en effet engendrer des dommages permanents sur la sexualité.

L’ifop a effectué un sondage dans l’objectif de mieux appréhender l’impact du porno et de mesure sa place dans les couples. Comment les Français se comportent-ils et quelles sont leurs tendances en termes de consommation de films pornos ?

Le porno attire surtout les hommes

L’étude a révélé que les sites pornographiques n’attirent pas tellement les Français. 26% seulement des personnes interrogées ont déclaré en avoir visité au cours de ces derniers mois. 43% n’ont pas visionné un film classé X depuis plus d’un an et 22% n’en ont jamais vu. 8% ne regardent pas ce genre de film tous les jours (1 fois par semaine au moins). 2% sont devenus accrocs et ne peuvent passer une journée sans en visionner.

Les films pornos sont surtout plébiscités par les hommes. 50% de ceux qui sont âgés de 18 à 24 ans (des célibataires surtout) sont de gros consommateurs, ce pourcentage n’étant que de 5% pour leurs homologues féminins. À 50 ans et plus, ils ne sont plus que 10% à continuer à en visionner.

Deux questions pertinentes

Il a été demandé aux personnes sondées de répondre à la question suivante : « Au cours de leur vie, est-ce qu’il leur est arrivé de préférer regarder un film pornographique au lieu de faire l’amour avec leur partenaire ? ». La majorité (83%) a dit « non », privilégiant la relation sexuelle avec leur conjoint (e) à un film X. Il convient tout de même de signaler que 17% d’entre elles préfèrent se masturber au lieu de s’accoupler.

À l’interrogation : « Est-ce qu’ils ont essayé de reproduire des positions ou des scènes vues dans ce genre de film ? », les réponses ont été assez mitigées. 51% des individus questionnés ont dit « non », 47% ont dit « oui », les 2% restants n’ayant pas voulu se prononcer. Parmi ceux qui ont répondu « oui », 11% ont avoué qu’ils le font assez souvent. 36% ont déclaré avoir fait une telle reproduction au moins une fois.

En tout cas, les amateurs de films pornographiques affirment qu’ils agissent à l’instar d’un sportif qui consacre beaucoup de temps à visionner des matchs pour améliorer ses performances. Afin de permettre aux adeptes de la reproduction de pousser leurs limites à l’extrême, une chaîne américaine lancera prochainement une télé-réalité dédiée à tous ceux qui aspirent à devenir une vedette de film X.

Vous en savez maintenant un peu plus sur les habitudes des couples français. Vous avez une idée plus précise de la place du porno et son intégration au sein de la vie à deux en Hexagone. Vous êtes en mesure de déterminer si vous êtes dans la moyenne ou non.