Même la science n’a pas encore réussi à déterminer et à comprendre la complexité des mécanismes sexuels de l’être humain. Il existe toutefois des bizarreries, parfois troublantes, qu’il convient de connaître sur la sexualité.
Les images qui excitent les femmes
Savez-vous par exemple que les images de chimpanzés qui se reproduisent excitent les femmes ? L’expérience a été réalisée en 2009 par une scientifique qui a invité plusieurs femmes à faire des tests. Elle a fait défiler à l’écran divers films et a évalué les réactions de chaque participante grâce à un dispositif placé à l’intérieur du vagin pour mesurer le flux sanguin. Toutes les femmes ont atteint un niveau assez élevé d’excitation au moment où une vidéo de singes effectuant des rapports sexuels était diffusée.
La performance des hommes
Les hommes ronds tiennent beaucoup plus longtemps au lit (7mn 18s en moyenne) que leurs homologues plus maigres (moins de 2mn). Des chercheurs turcs ont fait une étude sur la durée moyenne de la gent masculine au lit pendant l’orgasme. L’expérience a été édifiante. Ceci est dû à l’existence d’un excès d’hormones féminines dans l’organisme des hommes enveloppés. Ils sont considérablement ralentis durant l’approche de l’orgasme.
Après avoir analysé les données collectées auprès de 5.000 couples chinois, les psychologues d’une célèbre université anglaise ont pu établir un lien entre la rémunération d’un homme et les chances dont dispose sa partenaire de connaître l’orgasme. Il en résulte que les hommes riches sont plus doués dans leurs ébats, le salaire ayant une influence sur la performance sexuelle.
La pornographie
La pornographie favorise la tolérance. C’est ce qui ressort d’une étude publiée dans une revue spécialisée. Les scientifiques ont constaté que les individus qui visionnent régulièrement des films classés X sont moins coincés moralement par rapport à la marge de la population qui n’en regarde jamais. À leur avis, depuis que le porno est exposé de manière illimitée sur la toile, les Internautes sont de plus en plus enclins à accepter plus facilement le mariage homosexuel et les couples non traditionnels.
Toujours dans le chapitre du porno, vous devez savoir que la majorité de consommateurs de porno transsexuel est composée d’hommes hétérosexuels. Cette déduction a été faite par deux éminents chercheurs en neurosciences qui ont analysé les recherches effectuées sur Internet par plus de 100 millions de personnes. Le transgenre occupe la 4e place en termes de popularité dans le secteur de la pornographie sur le Web.
Ce que les hommes aiment
La gent masculine aime regarder des images de pénis. Des scientifiques ont en effet constaté que les hommes recherchent aussi bien des photos de sexe masculin que des clichés de sexe féminin sur les sites pornos. Ils ont analysé 40.000 adresses URL les plus populaires sur la toile dans le domaine du porno. Ils ont ainsi relevé que plus d’un millier d’entre eux (des sites dédiés aux hétérosexuels) mettent en avant, de façon amusante, des photos de pénis surdimensionnés.
Les hommes sont plus enclins à aider des femmes aux gros seins au détriment de celles qui ont une poitrine menue. L’expérience réalisée par un groupe de chercheurs français a confirmé ce contexte. Ils ont demandé à une jeune fille de faire de l’auto-stop sur une aire bien connue pour cette pratique en lui conseillant de faire en sorte que ses seins paraissent au fur et à mesure plus gros. Ils ont constaté que les hommes s’arrêtent plus souvent lorsqu’ils sont en présence d’une personne portant un soutien-gorge de grande taille.
Attention au vélo !
Enfin, si vous êtes un adepte du vélo, il convient de savoir que la pratique trop régulière de ce sport peut nuire gravement à votre libido. C’est ce qu’affirment des chercheurs qui se sont penchés sur la corrélation entre le vélo et l’impuissance depuis 1997. Après vérification du pénis d’un cycliste de 28 ans, ils ont découvert que son flux sanguin au niveau du sexe est similaire à celui d’un homme de 60 ans. En raison de la pression, les selles mal adaptées peuvent en effet engendrer des dommages permanents sur la sexualité.